samedi 2 mars 2013

Coïncidences troublantes sur le naufrage du Titanic

Coïncidences troublantes sur le
Naufrage du Titanic
Vous connaissez tous l'histoire du Titanic...Le Titanic est un paquebot transatlantique britannique de la White Star Line. La construction débute en 1909 à Belfast et se termine en 1912. C'est le plus luxueux et le plus grand paquebot jamais construit alors. Lors de son voyage inaugural, de Southampton à New York, il heurte un iceberg sur tribord avant. Il coule le 15 avril 1912 à 2 h 20 au large de Terre-Neuve. Entre 1 490 et 1 520 personnes disparaissent. Voici sur cet article deux coincidences troublantes dont le roman "Le naufrage du Titan" ecrit 14 ans avant le naufrage du titanic préméditant cette catastrophe.
"Le roman prémonitoire"
Certains ont relevé l'existence de plusieurs écrits parfois considérés comme prémonitoires. Quatorze ans avant le naufrage, Morgan Robertson écrit Le Naufrage du « Titan ». Après le naufrage du Titanic, ce livre regagne en réputation, apparaissant comme étonnamment prémonitoire et est réédité la même année . Il existe en effet de grandes similitudes entre l'histoire du livre et la réalité : le navire, nommé Titan, est le plus imposant au monde et présenté comme insubmersible. De fait, il ne dispose que du nombre minimum de canots de sauvetage requis par la loi. Il heurte un iceberg, coule et la majorité des passagers est victime du naufrage....
Ces similarités entre les deux événements poussent certains à parler de prémonition, et du fait que Robertson aurait « vu » le naufrage avant qu'il ne se produise. Toutefois, si le livre comprend d'étonnantes coïncidences, il contient également d'énormes différences, notamment en ce qui concerne le déroulement du naufrage3. Cependant, l'explication la plus retenue concernant ces coïncidences vient du fait que Morgan Robertson connaissait bien la marine de son époque, et qu'il pouvait de fait anticiper les possibles évolutions que vivraient les paquebots dans les décennies suivantes concernant la sécurité et le luxe. De fait, l'auteur pouvait supposer qu'un accident arriverait tôt ou tard, la question du nombre de canots de sauvetage à bord des navires prêtant déjà à polémique à l'époque.
"William Thomas Stead"
Le journaliste William Thomas Stead s'engage contre le manque de moyens de sauvetage à bord des paquebots. Dans une nouvelle, il raconte une collision entre deux navires dont les passagers ne sont pas tous sauvés, faute de moyens de sauvetage. Stead conclut : « C'est exactement ce qui se produira si les paquebots sont lancés avec trop peu de canots ». Six ans plus tard, il publie De l'Ancien Monde au Nouveau, nouvelle dans laquelle il raconte un voyage fictif à bord du paquebot (bien réel) Majestic de la White Star Line sous le commandement d'Edward Smith. Au cours de la traversée, le navire s'arrête pour repêcher les naufragés d'un paquebot ayant heurté un iceberg61. Le 15 avril 1912, Stead se trouve à bord du Titanic, commandé par Edward Smith, et meurt dans le naufrage.
 
 


1 commentaire:

  1. MARS OU CRÈVE !

    Avec la sonde spatiale “Curiosity” l’Homme a posé un oeil perçant sur la mythique planète Mars.

    Prouesse technologique qui émerveille le monde ! Aventure ambitieuse -inconcevable pour nos aïeux- repoussant les bornes du génie humain et de son empreinte jusqu’aux confins du système solaire... L’homme, avec la puissance extraordinaire de son cerveau, son inépuisable inventivité, sa capacité à concevoir l’inconcevable et sa folle volonté, pour ne pas dire sa divine folie, donne miraculeusement corps à ses rêves d’enfants.

    Le faucon spatial “Curiosity” en est la plus enchanteresse illustration. Rien n’est impossible aux esprits vaillants, aux coeurs vifs, aux âmes claires. En réalité je crois que l’Homme parfois est un véritable petit dieu, lorsqu’il ne songe pas à commettre ses diaboliques actions de bêtise.

    Que l’Homme est beau, noble, grand, admirable quand, la tête pleine d’idées neuves et de formules savantes, sûr de ses calculs et cependant tout tremblant de peur, il lance son lourd vaisseau d’acier et de fragiles dentelles électroniques par-delà les nues aussi facilement qu’une plume !

    A présent que l’oiseau sidéral s’est posé sur le sol martien, le plus difficile est fait et le plus beau est à venir.

    Dans le ciel un point rouge retient notre attention, éveille notre curiosité, excite notre intelligence, éclaire nos âmes : Mars rend notre regard plus vertical.

    C’est en levant les yeux vers le ciel que les humains se rachètent : si sur Terre l’Homme se montre souvent décevant, sur Mars il a prouvé qu’il était capable du meilleur.

    Raphaël Zacharie de IZARRA

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